Ni dedans,ni dehors
Dans l'espace de ténèbres
Qu'éclaire l'or souffré
Du Grand Chamane
Séparée de tout,liée à toi
Dans les méandres encensés
Des grands mystères
Je vois le fleuve nuageux
Hérissé des flammes du savoir
Le combat des forces démoniaques
Le Grand Serpent de sa lance terrifiante
Tranche le fil du malheur
L'oeil vers lui,je le vois,
Le sable chaud dans mes pieds
Il marche dans le bleu de la nuit
Et l'or de la lune
Ni dedans,ni dehors
Vers moi,hors de l'ombre
Dans la lumière solaire
De sa force libérée.
Sous la futaie centenaire,la verte obscurité ignore le soleil et les oiseaux.L'ombre impérieuse des chênes et des hêtres a banni du sol l'herbe,la fleur,la mousse et jusqu'à l'insecte.un écho nous suit,inquiétant,qui double le rythme de nos pas....
Colette
Vu de ma fenêtre,y'a que des bâtiments.
Si j'te dis que je vois de la verdure,tu saurais que je mens
Et puis pour voir un bout de ciel,il faut se pencher franchement.
Mais vas-y viens chez moi,on regardera par la fenêtre
Tu comprendras pourquoi je rigole,pourquoi je crains,pourquoi je rêve.
pourquoi j'espère.....
Surtout le printemps,surtout l'étè,surtout l'automne,surtout l'hiver...
Grand Corps Malade
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