Elles repoussent dans le jardin obéin de VITA
Elles repoussent dans le jardin obéin de VITA
Après xxxxx hésitations, elle a éclos...mais les prochaines?????
Un clic malencontreux et toute la présentation précédente a disparu...je restaure à la hâte. Une sale journée pour le blog....
Depuis hier impossible de charger des photos pour mon article. Je vais réessayer ce soir. Bonne journée VITA
Vincent
Coucou à vous tous.
Il lui disait : « Vois-tu, si tous deux nous pouvions,
L'âme pleine de foi, le coeur plein de rayons,
Ivres de douce extase et de mélancolie,
Rompre les mille noeuds dont la ville nous lie ;
Si nous pouvions quitter ce Paris triste et fou,
Nous fuirions ; nous irions quelque part, n'importe où,
Chercher loin des vains bruits, loin des haines jalouses,
Un coin où nous aurions des arbres, des pelouses ;
Une maison petite avec des fleurs, un peu
De solitude, un peu de silence, un ciel bleu,
La chanson d'un oiseau qui sur le toit se pose,
De l'ombre ; — et quel besoin avons-nous d'autre chose ? »
V. Hugo
La nuit était venue, était venue alors l'heure des rêves...La mer vit les mille impacts du jour, la morsure du soleil, le fourmillement des hommes et des bêtes, la danse immuable , l'incessant va-et-vient, et la mer se gonfla de ses larmes, la mer eut envie qu'on la bercât, la mer eut envie qu'on lui donnât de l'amour..Elle se tourmenta dans la grande nuit des rêves.
La mer s'est assombrie, elle s'enfonce lentement dans la nuit et l'oubli. Son clapotis se fait plus morne, elle se retire en elle...
Tout simplement..
Le murmure de la vague d'écume,
le bouillonnement
la présence
la fin du jour
calme
le recommencement
et la fin.
Pour les poèmes de VITA cliquer sur la rubrique POESIE